Baball et Bakiki gate énième

La pollution corporate et centriste des luttes sociales ne connait pas la crise.

Baball et Bakiki en liens tentaculaires opportunistes plus ou moins installés avec la Renou holding, Stop corruption, les Jours heureux, Disco Soupe and co’ continuent à sévir insidieusement auprès des mouvements sociaux. Ainsi en mode gauche droite réunies, parrainages politiciens & people de carriéristes du genre, à donner leurs instructions en rafales, concernant des ateliers banals et globaux d’agit pop’ en marketing cadré avec pin’s, banderoles, visuels habituels formatés pour recruter, des pions disposés en déclaration en pref’, la cagnotte Leetchi confiée à des contacts conjoncturels de confiance, avec la finalité d’aspirer perpétuellement vers leur commerce 2.0, notamment pour avril prochain durant les présidentielles et leurs Jours Debout. A déminer comme ils peuvent les gates successifs à leur sujet, disposant leur staff renouvelé vis à vis d’une visibilité média à diluer pour ne pas trop apparaître comme les chefs de ces énièmes orchestrations bisounours. On occupe le peuple avec des kermesses condescendantes, programmées, et le tour est joué. Ce mode entreprise polluant tout doucement les luttes, les anesthésiant, jusqu’à se retirer. Qu’ils opèrent en amont ou lorsqu’il n’y a plus qu’à ramasser les derniers souffles d’un Occupy à la Défense, des Indignés en France ou de Debout à République sur Paris comme sur les réseaux.